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Calogero se confie sur sa famille !

Des révélations qui font chaud au cœur !

Le samedi 24 avril, dernier sur TF1, dans "50’ Inside", Calogero s’est confié sur l’arrivée de ses parents en France, mais aussi sur la relation professionnelle qu’il entretient avec son frère. Un moment rempli d’authenticité qui a laissé place à l’émotion. Rappelons que les parents de Calogero sont des immigrés siciliens ayant fui la guerre avec un seul et unique espoir : vivre et se reconstruire dans la banlieue de Grenoble. 

C’est lors de son face-à-face avec Nikos Aliagas que l’artiste de 49 ans a expliqué en détail les raisons qui ont poussé ses parents à s’installer en France.

"Ils sont venus dans un contexte difficile et avec une volonté de vouloir s'intégrer, d'avoir des jours meilleurs, d'avoir des enfants qui se tiennent à minimum à carreau".

Très discret sur sa vie privée, il est rare d’entendre Calogero prendre la parole concernant ses proches, l’artiste a exceptionnellement évoqué quelques souvenirs de son enfance, avec son père notamment en lâchant une petite anecdote :

"J'étais un élève très dissipé. Je me cherchais un petit peu. Je m'étais mis à voler. J'avais volé la collection du groupe The Cure, tous les vinyles. Quand mon père a appris que j'avais volé, je l'avais déçu. Je me rappelle qu'il ne m'a pas parlé. Il était resté comme ça dans le salon, devant la télévision. Et il ne me regardait pas (…) une semaine après, je montais mon groupe, les Charts. Mon père m'a pardonné tout de suite. Il s'est dit 'il veut faire un truc, je vais me battre pour lui'."

Une histoire qui donnerait presque la larme à l’œil ! Dans "50' Inside", le compagnon de Marie Bastide s'est montré positive au sujet de son frère, Gioacchino. Eh oui ! Ensemble, ils font de la musique depuis toujours. C'est avec lui qu'il a monté son premier groupe, les Charts, dans les années 80. Et c'est à ses côtés que Calogero a composé ses plus grands succès en solo, tels que "En apesanteur" ou encore "Face à la mer".

"C'est mon frère, mais ce n'est pas pour ça que je fais de la musique avec lui. C'est parce que je pense que c'est le meilleur mélodiste que je connaisse. [...] Aujourd'hui, je continue de travailler avec mon frère parce qu'il est bon."