Chez les Bruel, c'est tel père, tel fils !
Il y a des moments dans la vie de parents qui peuvent être plus stressants que d'autres. Et c'est exactement ce qu'ont vécu Patrick Bruel et sa compagne, la romancière Amanda Sthers avec leur fils, Léon Bruel. En effet, ce dernier, tout juste âgé de 19 ans, a décidé de suivre les pas de son papa en se lançant à son tour dans une carrière de musicien.
Et pour éviter de souffrir de la comparaison avec son célèbre papa, qui a connu ses premiers succès il y a plus de 40 ans, le jeune homme a pris une décision radicale : partir faire carrière aux Etats-Unis. Dans les colonnes du Parisien le vendredi 13 décembre, Léon, qui a choisi lui même son nom de scène, Hesby, en référence au deux noms de ses parents, se confiait en toute transparence sur son envie de devenir chanteur :
"Aux États-Unis, je pars de zéro sans aucun passe-droit. (...) Mon père n’est pas connu ici et c’est tant mieux, je veux savoir ce que je vaux tout seul. (...) Mon privilège réside dans le fait que j’ai la chance d’avoir ses conseils et qu’il est un artiste que j’admire. La musique est un partage et on a souvent joué, chanté ensemble dans mon enfance." - Léon Bruel
Une nuit de stress et beaucoup de fierté
Si le jeune homme a déjà la tête bien sur les épaules, il a fait un nouveau pas dans sa jeune carrière américaine. Ce vendredi 13 décembre, Léon se produisait pour la toute première fois en live, dans la salle de concert du théâtre Raymond Kabbaz à Beverly Hills, depuis plus de 200 personnes.
Aux premières loges, il y avait évidemment sa mère, Amanda Sthers, sa grand-mère Véronique Queffélec, son frère Oscar mais aussi Patrick Bruel. Et on peut dire que toute la petite famille était particulièrement stressée pour ce premier show ! Si sa mère s'est montrée "hyperstressée pour lui", son célèbre papa était dans le même état, comme il l'expliquait au Parisien :
"Je n'ai pas dormi de la nuit. J’étais en concert hier à Toulouse mais je n’aurais manqué la première scène de Léon pour rien au monde”. - Patrick Bruel
Un papa stressé, mais surtout très fier de son fils. Et on comprend pourquoi.
