Louane : sa série "Visions" a une date de diffusion

Ce sera sur TF1.

Si Louane a profité de quelques jours de repos aux Etats-Unis alors que son compagnon était sur la scène du festival Coachella avec Stromae, les vacances sont bel et bien terminées. La jeune chanteuse est rentrée en France pour terminer la préparation de sa tournée qui débute dans une dizaine de jours. Mais elle va aussi devoir coupler la promotion de la série dans laquelle elle a joué pour TF1, "Visions", car la chaîne vient de communiquer sur la date de diffusion : ce sera à partir du 16 mai.

Définie comme un "polar paranormal", "Visions" est une mini-série écrite par Le Guillou et Bruno Deg et Louane partagera l'affiche avec Soufiane Guerrab, Jean-Hugues Anglade, Anne Marivin ou Marie-Ange Casta. Celle qui a été récompensée pour son rôle dans "La famille Bélier", joue le rôle de Sarah, une psychologue pour enfants, un rôle que la jeune comédienne a pris à bras le corps comme elle l'a expliqué à Pure Break.

"C'est pas un univers qui m'était totalement inconnu. En revanche, c'était ultra intéressant d'apprendre à connaître un peu plus cet univers. Et, en vrai, j'avais très très envie de jouer avec un enfant."

Les deux premiers épisodes seront donc diffusés sur TF1 le lundi 16 mai. Les autres arriveont le 23 et enfin les deux derniers seront visibles le 30 mai.

Pour patienter, on vous remet le "pitch" de la série :

Alors qu’une petite fille d’à peine douze ans disparaît, Diego, huit ans, manifeste d’étranges visions qui alertent le capitaine de gendarmerie chargé de l’enquête, Romain, et surtout sa compagne, Sarah, une jeune psychologue. Et si ce que voit ou dessine Diego était lié à cette disparition ? Un lien particulier va se créer entre Sarah et Diego. D’autant que le petit garçon semble aussi connecté à des éléments du passé de la jeune femme. Un passé qu’un choc post-traumatique avait totalement effacé de sa mémoire.  Au-delà de l’enquête, cette série nous fait toucher du doigt l’univers fascinant de la médiumnité, et, à travers ce don, aborde aussi la différence. Car à huit ans, on n’a pas du tout envie d’être différent, on a juste envie d’être un petit garçon comme les autres.