Johnny Hallyday : pourquoi il détestait Claude François...

Le comportement du chanteur insupportait le rocker !

Johnny Hallyday nous a quitté il y a presque trois ans déjà. Une disparition prématurée qui a laissé un grand vide dans le cœur des fans du Taulier. C'est pour eux et pour continuer à faire vivre le souvenir du chanteur disparu que Læticia Hallyday, son épouse a continué de partager les mélodies de l'interprète. A travers différentes compilations telles que "Johnny", un album symphonique sorti l'année dernière et dont le prochain opus, intitulé "Acte II", paraîtra prochainement, la voix du rocker continue d'exister. Son parcours légendaire ne tombera pas non plus dans l'oubli. En effet deux anciens proches ont décidé de dévoiler quelques-uns des secrets de l'un des artistes les plus emblématiques de la chanson française...

Dans "Johnny Hallyday et ses Anges gardiens" (éd. Casa)Sacha Rhoul et Jean Basselin, ses deux anciens "hommes à tout faire", raconte les coulisses des moments de la vie de Johnny. Les deux hommes ont été engagé par l'idole des jeunes en 1966. Ils avaient pour mission de protéger Sylvie Vartan et leur fils David. Durant plusieurs décennies, ils ont donc été au plus près du Taulier.

Et c'est cette proximité qui leur permet aujourd'hui d'évoquer les détails de l'inimitié de Johnny à l'égard de Claude François et de Dick Rivers. Selon les anciens employés de la star du rock, celui-ci "les trouvait inhumains avec leur entourage". L'attitude de Claude François et sa fâcheuse tendance à maltraiter ceux qui travaillaient avec lui a profondément agacé l'interprète de "L'envie" : "Quand Johnny était fatigué, il voulait lui casser la figure". Et si "une histoire de femmes", semble être à l'origine de la mésentente entre les deux artistes c'est surtout, le comportement de celui qui chantait "Belinda" qui insupportait Johnny : "Il ne l'aimait pas parce qu'il insultait ses musiciens et techniciens et les humiliait en public", affirme les anciens collaborateurs du Taulier, qui était, lui, "aux antipodes de ça".

Une tension qui a créé des situations cocasses comme nous le révèlent les deux auteurs : "Pendant deux ans, Claude François envoyait son assistant, que l'on surnommait le poisson pilote, dans les restaurants parisiens, pour être sûr que Johnny n'y soit pas.