Un des faits marquants de l'actualité internationale de ce début d'année 2025, ce sont les terribles incendies qui ont ravagé la Californie et une partie de la ville de Los Angeles. Un véritable drame écologique, qui a notamment impacté plusieurs célébrités françaises qui avaient une maison dans le coin, comme Patrick Bruel par exemple. Les incendies ont d'ailleurs failli lui faire rater les Enfoirés pour la première fois de sa vie. Mais ils auront aussi eu d'autres conséquences plus fâcheuses, comme la perte d'objets très chers à son cœur.
Invité du podcast "Ma Conversation avant la fin du monde", le chanteur est une fois de plus revenu sur ces terribles évènements qui ont frappé sa maison, faisant disparaître des souvenirs, et quelques objets précieux :
Il y avait un dessin, un dessin très important d'Oscar quand il avait cinq ans, il était aux Beaux-Arts. Il était très doué pour le dessin et il faisait des choses extraordinaires et il y avait un dessin qui me touchait énormément, parce que c'était très graphique au fusain. Il avait fait un petit ours qui, avec un triangle comme ça, c'était les bras qui protégeait un tout petit ours. Et je pensais que ce dessin devait me revenir de droit à cause de ce qu'il représentait. Amanda l'avait très gentiment encadré et elle me l'avait donné. C'est la première chose à laquelle j'ai pensé quand tout a disparu.
Un dessin de la part de son fils adoré qui part en fumée, forcément, quand on est père, ça a de quoi mettre les larmes aux yeux. Mais il y a également eu un autre objet, avec une valeur financière beaucoup plus élevée, dont Patrick Bruel a eu beaucoup de mal à se remettre de la perte : une voiture, et pas n'importe laquelle.
Il y a ma voiture aussi parce que j'étais très attaché ma voiture. C'était une belle voiture, une voiture que je pouvais me permettre d'avoir là-bas parce qu'on ne me l'aurait pas rayée. C'était un rêve d'enfant, c'était une Aston Martin.
Il est vrai que la marque Aston Martin a quelque chose de mythique, avec tous les modèles mis en avant par les films "James Bond", on peut dire que la marque aura fait rêver plus d'un petit garçon depuis des années. On comprend tout à fait Patrick Bruel, qui, on l'espère, trouvera l'envie de s'en racheter une autre, même si la saveur ne sera probablement pas la même...