Benjamin Biolay répond sèchement aux attaques de Roselyne Bachelot

Benjamin Biolay répond sèchement aux attaques de Roselyne Bachelot
Benjamin Biolay se moque de Roselyne Bachelot.

Concis mais efficace.

Il fallait s'en douter. Il était évident que Benjamin Biolay n'allait pas rester les bras croisés et la bouche close après les attaques dont il a été la cible de la part de l'ancienne ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. Ils s'étaient déjà durement affrontés durant la crise sanitaire et la confinement et il semble que leurs liens soient à jamais distendus. Celle qui est devenue chroniqueuse dans les médias l'a en effet égratigné dans son livre qui revient sur cette période, "682 jours" parlant de lui comme un artiste "friqué" et expliquant que sa tartine était "bien beurrée des deux côtés". L'interprète de "La superbe" lui a répliqué illico... Et n'a pas fait dans la dentelle non plus... Dans sa dernière story Instagram, il a posté une fausse couverture d'un album de Tintin qui, en compagnie du capitaine Haddock et des policiers Dupont et Dupond semblent à la recherche de quelque chose. Selon l'artiste, il s'agit tout simplement de la dignité de Roselyne Bachelot comme indiqué par ailleurs. Une réponse cinglante qui laisse à penser que les choses ne vont pas s'arrêter là...

Ce qui est étonnant finalement dans tout cela, c'est que Benjamin Biolay, dont l'attitude n'a pas toujours exemplaire comme il l'a lui-même reconnu, n'a pas été le seul artiste à critiquer l'action de la ministre de la Culture durant cette période si délicate. Clara Luciani l'avait également prise à partie alors que le parc du Puy-du-fou avait eu le droit de rouvrir alors que les autres artistes ne pouvaient toujours pas travailler.

"Vous passez de bonnes vacances madame Roselyne Bachelot ? Parce que nous on a mal au bide et au cœur et on attend des réponses qui n’arrivent pas."

Grand Corps Malade ou les comédiens Pierre Niney et Reda Kateb avaient également apostrophé publiquement Roselyne Bachelot mais n'ont, pour l'instant, pas eu à subir ses foudres, à la différence de Benjamin Biolay...