Pascal Obispo a connu une rentrée très mouvementée, ça n'est rien de le dire. Le chanteur a notamment beaucoup travaillé, et beaucoup communiqué, sur sa comédie musicale en préparation qui rendra hommage aux "10 Commandements", dont il avait été un des principaux architectes. Mais ça n'est pas de tout repos, et il s'est d'ailleurs écharpé par presse interposée avec Elie Chouraqui, le metteur en scène de la comédie originale. Ce dernier a même emmené l'histoire devant la justice, qui devra trancher sur le sujet.
Qui dit rentrée agitée, dit forcément pas mal d'interviews promo. Ce dimanche, Pascal Obispo était de passage sur France 2 dans l’émission "Un dimanche à la campagne". Le chanteur a notamment été interrogé à propos des déboires financiers qu'il a pu connaître en début de carrière. "Quand je bossais à la Fnac, je ne pouvais plus. J'arrivais le matin, j'étais cuit, c'était pas possible. Donc j'ai arrêté, j'ai été au chômage et c'était mon dernier mois de RMI - qui correspond au RSA aujourd'hui - et j'étais en fin de droits. Je n'avais plus rien, donc c'était fini, je n'avais pas de plan B. Il me reste 800 balles sur le compte et c'est fini", explique l'artiste.
Un peu plus tard, il expliquera que son enfance non plus n'était pas forcément toujours dorée au niveau financier, lui qui a été élevé par sa mère après le divorce de ses parents. "Mon père ne payait pas la pension. En fait, il retardait, il retardait, il retardait... Et puis, il retardait tellement qu'en fait il payait le mois d'après, mais il sautait un mois, c'était un peu le suspense. On était au courant de tout ça parce que la mère râlait... On attendait la pension, c'était un peu compliqué, on n'avait pas de thunes", détaille Pascal Obispo.
Une situation qui demeure encore aujourd'hui bien trop fréquente pour beaucoup de jeunes...