À chaque saison, la Star Academy promet aux candidats un avenir artistique, mais en coulisses, ce sont surtout les enseignants qui voient leur valeur grimper. Avec des audiences solides et une mécanique désormais bien huilée, la production n’a pas hésité à revoir les contrats à la hausse. Résultat : les professeurs historiques empochent des sommes rarement atteintes dans l’histoire du programme, selon nos confrères de Public. Figure centrale, Michael Goldman aurait négocié l’un des plus gros cachets de cette édition. Le directeur toucherait environ 170 000 euros pour la saison, contre 100 000 euros l’an dernier. Un montant qui s’expliquerait par un accord à 10 000 euros par semaine, assorti de divers avantages annexes.
Mais il n’est pas le seul à profiter de cette manne. Jonathan Jenvrin, à la fois professeur de danse et directeur artistique des primes, cumulerait près de 85 000 euros pour l’enseignement, auxquels s’ajouterait un complément d’environ 25 % lié à la mise en scène des grands shows hebdomadaires. De leur côté, Marlène Schaff, Lucie Bernardoni et Sofia Morgavi percevraient chacune autour de 68 000 euros, avec une progression spectaculaire pour la prof de chant, dont la rémunération aurait plus que doublé en un an.
Les autres intervenants ne sont pas oubliés. Papy, chargé du théâtre, et Ladji Doucouré, responsable du sport, toucheraient chacun environ 51 000 euros, ce dernier voyant son salaire grimper de près de 20 000 euros par rapport à la saison précédente. Quant à Fanny Delaigue, répétitrice de l’ombre mais essentielle au quotidien des élèves, son cachet aurait été multiplié par plus de trois, passant de 12 000 à 42 500 euros. Une preuve supplémentaire que, cette saison, la Star Academy marche extrêmement bien.
