Françoise Hardy : pourquoi Sylvie Vartan est restée silencieuse quand elle a appris son décès

Françoise Hardy : pourquoi Sylvie Vartan est restée silencieuse quand elle a appris son décès
Sylvie Vartan donne des explications sur les raisons de son silence médiatique après le décès de son amie, Françoise Hardy.

Depuis l'annonce de la mort de Françoise Hardy, en juin dernier, les hommages se sont multipliés. Sylvie Vartan, elle, a préféré rester discrète et a expliqué pourquoi elle n'avait pas voulu s'exprimer publiquement.

Françoise Hardy, qui s'était battue pendant des années contre la maladie, a rendu son dernier souffle le 11 juin dernier. Thomas Dutronc, son fils, a annoncé la nouvelle sur les réseaux sociaux, entraînant une vague d'émotion de ses fans. Neuf jours après sa mort, l'enterrement a eu lieu au cimetière Père-Lachaise, à Paris, de nombreux proches étaient présents, à commencer par Jacques Dutronc, à qui elle était toujours mariée malgré leur séparation. Alors que de nombreuses personnalités ont tenu à s'exprimer publiquement sur la mort de Françoise Hardy, l'une de ses proches amies, Sylvie Vartan, avait préféré garder le silence.

Sylvie Vartan explique les raisons de son silence

La chanteuse n'a pas publié de communiqué officiel, elle a simplement posté un court message sur sa page Instagram après l'enterrement, auquel elle n'a pas pu assister. "Ma belle amie. Repose en paix", avait-elle écrit.

Ce jeudi 25 juillet, Sylvie Vartan a donné des explications sur les raisons pour lesquelles elle n'avait pas souhaité rendre hommage publiquement à son amie : "J’étais déjà ici [à Los Angeles] quand je l’ai appris. Je n’ai pas souhaité m’exprimer. Ce qu’a dit Thomas, son fils, suffisait. On n’a pas besoin de grandes phrases pour dire son chagrin, en tout cas moi, je ne sais pas faire ça, j’ai toujours des réticences à m’épancher émotionnellement", a-t-elle déclaré.

Elle a donc souhaité faire son deuil de son côté à l'abri des regards : "Je garde pour moi ma tristesse. Françoise, c’était ma jeunesse. Ensemble, on a tellement voyagé, tellement rigolé ! C’est Jean-Marie Perrier qui nous avait présentées et je l’aimais beaucoup. C’était quelqu’un de digne. À la fois réservée et joyeuse, avec ce côté profond qui me plaisait. Et je la trouvais si belle."