A 58 ans, Pascal Obispo est de retour au coeur de l'actualité puisqu'il vient de sortir son tout nouvel album "Le beau qui pleure", disponible depuis le 15 septembre. Un disque assez intimiste dans lequel le chanteur se raconte beaucoup, et qui succède à "Histoires 2 France", son album de reprises de France Gall sorti en 2022. Entre ces deux projets, il a également trouvé le temps d'exposer ses peintures dans un musée à Bordeaux, pour le plus grand bonheur de ses fans.
Et qui dit nouvel album, dit forcément interviews qui s'enchaînent. On a d'ailleurs eu le plaisir de l'accueillir sur M Radio dans notre matinale il y a quelques jours. Mais aujourd'hui, c'est le JDD qui fait paraître un entretien dans lequel il avoue que pour lui, être considéré comme un chanteur populaire pouvait être assez difficile à vivre, compte tenu notamment de ses goûts musicaux assez différents de la musique qu'il crée, lui qui apprécie énormément la musique punk.
"Être un chanteur populaire a toujours été un peu compliqué pour moi. Peut-être que ma culture rock m'empêche de m'y plonger à 100 %. Mon côté punk est toujours là, dans la cave, et il vient me taper sur l'épaule. En cela, j'admire des chanteurs comme Florent Pagny, Johnny ou Michel Sardou, l'incarnation par excellence de ce qu'est un chanteur populaire sachant raconter comme personne la société. On sent qu'ils n'hésitent pas à se jeter à l'eau. Moi, mon côté Robert Smith ne m'a jamais quitté. Sans les cheveux, évidemment !", termine Pascal Obispo en riant.
Une analyse assez pertinente et très honnête de la part du chanteur, une honnêteté que vous pourrez d'ailleurs retrouver dans plusieurs chansons de son nouvel album, disponible partout !