Le problème quand on participe à un programme aussi regardé que "The Voice", c'est que tout ce que vous faites ou ne faites pas d'ailleurs est commenté et "analysé" sur les réseaux sociaux. Amel Bent vient d'en faire l'amère expérience alors que dans l'émission diffusée ce samedi 5 mars, elle n'a pas beaucoup appuyé sur le buzzer pour retourner son fauteuil au moment où les talents se produisaient sur scène et cela lui a été reproché à elle, mais aussi à ses camarades coachs.
On a ainsi pu lire les critiques du type :
"Nouveau concept de The Voice : ”Vous chantez hyper bien mais on ne se retourne pas”", "Ils font grève à pas se retourner ?", "Ils ont oublié le concept de l'émission les coachs ou quoi ?", "C'est super et aucun coach ne s'est retourné", etc...
Dès dimanche, Amel Bent a répondu à ces commentaires négatifs sur son compte Instagram rappelant notamment la règle du jeu et qu'avec les auditions à l'aveugle qui se terminent, les places deviennent de plus en plus chères.
"Je l'ai vécu, et pourtant, même à regarder, c'est frustrant de ne pas aller sur certains talents ! Mais il ne faut pas oublier que The Voice, c'est plus de cent trente talents à peu près tous incroyables… Tu as quatorze places dans ton équipe… le calcul est simple, si tu te retournes à chaque fois que ça chante grave, bah tu joues un samedi soir et après tu regardes les autres pendant deux mois et demi ! Faut pas croire que ne pas se retourner rime avec : ”Je trouve ça pas bien ou j'aime pas.” Ça rime avec : ”J'ai pas trente-cinq places donc je buzz coups de coeur et frissons. Attendez, j'ai pas fini : c'est donc normal quand on ne se retourne pas de malgré tout saluer le talent, la voix, la performance, le message, le courage et toutes les qualités qui amènent les artistes jusqu'ici. Je sais pas, c'est logique en fait. On a le droit d'être objectivement heureuse pour un talent qui intègre l'aventure même si on ne s'est pas retournée soi-même parce qu'on pense objectivement que c'est vraiment mérité."
Voilà qui est clair !