Un événement très attendu. Par la principale concernée bien évidemment, mais surtout par la critique et le public qui ont réservé un accueil très mitigé au précédent, sorti il est vrai pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Maintenant qu’elle n’est plus première dame, la chanteuse saura si elle peut à nouveau être perçue comme une artiste, ce dont personne ne doutait au moment de Quelqu’un m’a dit, ou bien si elle sera à jamais vue comme la femme de l’un des présidents de la République les plus critiqués, voire détestés, de France.
Malgré son titre teinté d’humour et d’autodérision, Comme si de rien n’était, l’album que Carla Bruni-Sarkozy a sorti en 2008 pendant que son époux exerçait ses fonctions de Président de la République, avait fait grand bruit. Du moins dans la presse parce qu’en terme de ventes, les chiffres se sont montrés très en dessous de ceux de Quelqu’un m’a dit, en 2002. Elle avait alors pâti d’un mélange des genres que les Français désapprouvent souvent, ne sachant pas s’ils achetaient l’album de l’ancien mannequin devenue chanteuse et désignée artiste féminine de l’année 2004 aux Victoires de la musique ou bien le disque de la femme de Nicolas Sarkozy, président déjà honni pour son côté bling bling.
Aujourd’hui, Carla Bruni-Sarkozy n’est plus première dame. Pendant que leur couple tente de retrouver une vie plus normale, que son époux donne des conférences à travers le monde, suit la vie politique de loin (du moins en apparence) et se consacre à sa vie de famille, elle a repris le chemin des studios pour achever son nouvel album, déjà bien avancé pendant le quinquennat mais repoussé pour les raisons que l’on sait. C’est son agent Bertrand de Labbey qui l’a confié mardi (...) Lire la suite sur gala.fr
