A l’âge de 20 ans, Daniel Guichard admirait Johnny Hallyday. En 1966, le chanteur de Mon vieux signe son premier contrat et s’imagine accéder à son rêve mais se trompe… Dans une interview accordée à Ici Paris, Daniel Guichard se confie sur ses fantasmes de jeunesses et en profite pour envoyer une petite pique à l'idole des jeunes. En effet, le chanteur s’épanouie dans une vie plus modeste…
« A 20 ans, je voulais ressembler à Johnny. Les belles voitures, les villas, les piscines, j'ai eu pas mal de ces trucs-là, mais je me suis aperçu que la plupart de ces choses n'étaient pas indispensables ».
En 1972, Daniel Guichard enchaîne les succès avec les tubes La Tendresse et Faut pas pleurer comme ça, rapidement il goûte aux excès du show business. Le star system, la richesse à outrance, les demeures gigantesques, c’est trop pour lui !
« Je ne suis peut-être pas le plus riche de ce métier, mais je suis le plus libre » confie l’artiste.
D’après lui, il vit une vie paisible, sans contrainte tel un artiste bohème : « J’ai mené ma route comme je le souhaitais pendant toutes ces années. J'ai eu le privilège de ne pas avoir de patron, il fallait que je sois le responsable à 100% de ce que je faisais ». Cette simplicité lui a permis de toucher son public et de trouver le sacré graal : le succès !
