La semaine dernière, Candide Renard, candidate dans la saison de Koh-Lanta actuellement en tournage, a accusé un autre concurrent, Eddy, de l’avoir agressé sexuellement.
Ce dernier a été entendu par la police lundi lors d’une garde à vue de quelques heures. Il a nié toutes accusations et a été relâché dans la soirée. Son avocat, Me Jérémie Assous, a déclaré sur BFMTV : « Aucun motif ne permettait de maintenir mon client en garde à vue. Sa version des faits est parfaitement conforme avec celle des cinq autres personnes qui étaient dans la hutte avec la plaignante. »
En effet, cinq autres candidats auraient été présents au moment de la présumée agression. Aucun de ces témoins n’aurait confirmé la version de la plaignante. L’avocat de cette dernière, Me Léon del Forno, a confié à l’AFP que sa cliente « ne commentera pas publiquement les faits dont elle a été victime […] Elle réserve l'intégralité de ses déclarations à la justice […] Sa détermination est intacte et elle ne cèdera à aucune forme de pression ou d'intimidation. »
Hier, dans TPMP, alors que plusieurs chroniqueurs accusaient la production d’avoir mal sélectionné ses candidats, Benjamin Castaldi a défendu le concurrent accusé de viol : « Imaginez que finalement, cette histoire soit fausse. J'ai des infos, c'est probablement des on-dits, mais on m'a dit qu'elle avait déclenché le talkie parce qu'elle était en difficultés pour le premier conseil. Imaginez que tout ça soit archi-faux. Donc ça voudrait dire qu'à cause de ça, on a quand même des dommages collatéraux : des cadreurs qui ont perdu leur emploi, une boîte de production qui va assumer des coûts considérables. Quid ? Qu'est-ce qu'il se passe si cette histoire est fausse ? »
