Des déclarations d’Olivier Chiabodo, dans le procès verbal de l’enquête préliminaire ouverte par la police suite aux accusations que l’animateur porte contre TF1, ont été rapportées dans Le Parisien / Aujourd’hui en France : « À plusieurs reprises, les différents DRH m’ont demandé de me taire au sujet des faits graves dont j’avais connaissance, d’être raisonnable et de penser à ma famille », peut-t-on ainsi lire.
L’ancien animateur d’Intervilles accuse également la chaîne de « harcèlement moral » et affirme « être régulièrement menacé de mort ».
Interrogé par TV Mag, Olivier Chiabodo est allé encore plus loin dans les confidences : « La justice n'a pas convoqué les directeurs généraux de TF1, Gérard Louvin et d'autres pour rien », a aisni affirmé l’ancienne figure de TF1, avant d’ajouter, sans citer de noms, que l'on « va être surpris de découvrir le nom des autres personnes impliquées », des personnes « qui ont probablement des dossiers dans des brigades importantes ». Confirmant avoir été menacé de mort par Gérard Louvin, il affirme également avoir reçu des menaces "une fois par semaine", ce qui l'a conduit à demander à être placé sous protection policière.
Olivier Chiabodo dit aussi avoir « refusé l’argent » proposé par la chaîne lors de la négociation. Il affirme porter plainte pour « qu’on lui foute la paix » et qu’on arrête « de foutre la pression sur sa famille et lui-même ». L’animateur souhaiterait également avoir « des excuses de Martin Bouygues au journal de 20 heures de TF1 ».
