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TPMP : Les vraies raisons du départ d’Enora Malagré.

Elle s’est expliqué dans TéléObs « Les derniers temps, j’y allais la boule au ventre. »

Fin mai, Enora Malagré a créé la surprise en annonçant son départ de « Touche pas à mon poste ».

La chroniqueuse emblématique de l’émission a tenu à exprimer les vraies raisons de son départ. Dans TéléObs elle a exprimé plusieurs raisons.

Elle a expliqué que l’ambiance avait changé depuis deux ans, notamment le comportement de Cyril Hanouna.

« À nous les chroniqueurs, Cyril faisait bien sentir, parfois avec une pointe de mépris, qu’il était le producteur et nous de simples employés. ‘Quand tu produiras, on te demandera ton avis’, des trucs de ce genre. Ce n’est pas méchant, ce n’est pas pour blesser mais ça fait mal. »

Elle a poursuivi, en évoquant son stress des derniers temps :

« Les six derniers mois, il est devenu plus dur. Les derniers temps, j’y allais la boule au ventre. Pendant l’émission, il a été trop sévère avec moi, il me coupait tout le temps la parole, souvent d’un simple geste. Je me retrouvais avec d’un côté, un mec qui te produit pendant cinq ans et de l’autre, le même qui te dit à l’antenne que tu es une ‘animatrice en carton’ »

Son départ est intervenu quelques jours après la polémique avec le CSA, accusant l’émission de canular homophobe. Elle a expliqué que son départ s’était fait au fil du temps, mais cela a joué bien évidemment :

« J'étais persuadée de pouvoir me rendre compte que si je participais à quelque chose de mal, je m'en apercevrais, et pourtant... J’ai voulu reparler de cet incident dans l’émission, expliquer que le problème, ce n’était pas la réaction des internautes, la polémique mais ce qui avait été fait avant. Sauf que j’ai été absente les jours d’après et qu’à mon retour, quand j’ai annoncé la couleur, on m’a décommandé une heure avant. Puis je n’ai plus été réinvitée les fois suivantes. »

Malgré tout, la chroniqueuse a tenu à relativiser, en affirmant avoir passé 7 bonnes années dans cette émission et en affirmant qu’il fallait relativiser : « Mais attention, il faut relativiser, ce n’est pas le goulag. Bien sûr, il est très dur mais je suis aussi consciente que sans lui j’étais que dalle avant. »