En janvier 1986, Daniel Balavoine meurt dans un accident d'hélicoptère, en plein Paris-Dakar. Son fils, Jérémie, n'a alors que 18 mois, et sa compagne Corinne est enceinte d'une petite fille. Joana naît au mois de juin.
Elle est passionnée de musique, et parle enfin publiquement de son père dans le documentaire "J'me présente, je m'appelle Daniel", qui sera diffusé sur France 3 le 30 décembre.
Elle est passionnée de musique, et parle enfin publiquement de son père dans le documentaire "J'me présente, je m'appelle Daniel", qui sera diffusé sur France 3 le 30 décembre.
Elle a accordé une interview au magazine Paris Match : la belle parle d'un "paradoxe entre son absence et sa présence permanente". Elle a très vite ressenti le besoin de découvrir ses racines.
"Il faut un peu de courage. Accepter d'être toute sa vie dans sa découverte. Il a fallu que je prenne le temps de découvrir papa par moi-même".
Et son papa, elle le découvre notamment à travers ses chansons. L'album "Sauver l'amour" est d'ailleurs son préféré : "c'est un condensé de l'homme qu'il était, dans la cohérence de ses convictions".
Joana semble se retrouver dans les images de son père, qu'elle décrit avec de très jolis mots : "Essentiel, engagé, sanguin, authentique : ce sont les mots qui me viennent à l'esprit. Avec un rapport fondamental à la vie : fais comme tu penses et pense comme tu fais.Le message que papa nous laisse encore, c'est l'action. Le contraire de la démobilisation. On lève le poing comme lui et on y va ! C'est ainsi que je peux me convaincre qu'il n'est pas mort pour rien".
La fille du chanteur est elle aussi passionnée de musique, et en a fait son métier. Et son nom ne la dérange pas, au contraire : "Ce nom me fait du bien, parce que je vois papa dans les yeux des gens. C'est assez impressionnant... Être une Balavoine, c'est une chance. Je n'observe que du respect, un immense amour et beaucoup de considération !"
"Il faut un peu de courage. Accepter d'être toute sa vie dans sa découverte. Il a fallu que je prenne le temps de découvrir papa par moi-même".
Et son papa, elle le découvre notamment à travers ses chansons. L'album "Sauver l'amour" est d'ailleurs son préféré : "c'est un condensé de l'homme qu'il était, dans la cohérence de ses convictions".
Joana semble se retrouver dans les images de son père, qu'elle décrit avec de très jolis mots : "Essentiel, engagé, sanguin, authentique : ce sont les mots qui me viennent à l'esprit. Avec un rapport fondamental à la vie : fais comme tu penses et pense comme tu fais.Le message que papa nous laisse encore, c'est l'action. Le contraire de la démobilisation. On lève le poing comme lui et on y va ! C'est ainsi que je peux me convaincre qu'il n'est pas mort pour rien".
La fille du chanteur est elle aussi passionnée de musique, et en a fait son métier. Et son nom ne la dérange pas, au contraire : "Ce nom me fait du bien, parce que je vois papa dans les yeux des gens. C'est assez impressionnant... Être une Balavoine, c'est une chance. Je n'observe que du respect, un immense amour et beaucoup de considération !"
