Louane se rappelle son début de carrière : "Je prenais les gens de haut comme si j’étais Britney Spears"

Louane se rappelle son début de carrière : "Je prenais les gens de haut comme si j’étais Britney Spears"
Elle revient sur son parcours dans 50min Inside avec Isabelle Ithurburu.

À sa sortie de The Voice, la chanteuse a pris la grosse tête et ne se le cache pas.

Au début de la célébrité, la chose la plus importante serait de ne pas avoir la grosse tête. Après le succès fou qu’elle connaît dans The Voice en 2013, Louane a malheureusement été confrontée à ça. Dans 50min Inside, elle se confie à Isabelle Ithurburu sur son début de carrière. "Je me la pétais de ouf ! C’est la vérité, je prenais les gens de haut, raconte-t-elle. J’avais 17/18 ans, je prenais les gens de haut comme si j’étais Britney Spears. Alors que je ne l’étais clairement pas".

Pour faire redescendre Louane sur terre, elle a pu compter sur le soutien de ses quatre soeurs et de son frère. "Ils sont là le week-end pour me rappeler que c’est à moi de faire la vaisselle, explique l’interprète de "Jour 1". C’est ça la réalité, c’est de savoir d’où je viens, de savoir comment j’ai été élevée. J’ai eu la chance d’être assez entourée pour ne pas complètement péter un câble".

"Ça reste un deuil, ça ne part jamais vraiment"

Son début de carrière, Louane s’en rappellera probablement toute sa vie. Avant sa participation à The Voice, elle est confrontée à un douloureux évènement : le décès de son père. À sa sortie de l’émission, c’est sa mère qui s’en est allée, des suites d’un cancer. Une période compliquée pour cette jeune orpheline. "Chacun réagit de manière différente. Moi il se trouve que pour le coup ma façon de réagir ça a été de travailler : je me suis vraiment tout de suite mise dans le travail et je pense que ça m'a vachement aidée dans un premier temps puis ensuite un peu desservie, et finalement vachement aidée".

Elle poursuit : "J'ai eu un contrecoup mais ça arrive à beaucoup de gens. Aujourd'hui je l'ai fait, après ça reste un deuil ça ne part jamais vraiment, mais aujourd'hui c'est beaucoup plus vivable et moins douloureux qu'à l'époque".