Céline Dion se sépare de sa propriété parisienne à un prix démesuré !

Céline Dion se sépare de sa propriété parisienne à un prix démesuré !
L'artiste semble en demander 14,9 millions € !

Depuis le décès de son mari, la star québécoise met en vente tous ses biens immobiliers.

Après s’être séparée de sa superbe villa à Las Vegas, Céline Dion vient de mettre en vente une nouvelle partie de son patrimoine, son hôtel particulier à Paris. Et le prix est démesuré !

En effet, la célèbre famille d’agents immobiliers Kretz a annoncé la mise en vente sur son site internet de l’hôtel particulier qui appartenait à la chanteuse et à son mari René Angélil. Située au cœur du XVIe arrondissement de Paris, à la Villa Montmorency, une résidence de 632 mètres carrés comprend cinq suites, un rooftop avec vue sur la capitale, une piscine intérieure, un spa, un home cinéma, ainsi qu’un jardin de 500 m2. Si l’endroit fait rêver le prix un peu moins. Depuis le décès de son mari en 2016, l'interprète de “I'm Alive” a décidé de mettre en vente cet hôtel particulier à Paris au prix de 9 millions €. Mais aujourd’hui l’artiste semble en demander 14,9 millions € ! Si Céline Dion obtient le prix souhaité, ce sera une plus-value de près de 6 millions € qu’elle va réaliser.

Si la chanteuse québécoise possède ce bien depuis 2008, d'après les informations du magazine Gala, le couple n’y aurait jamais vécu à cause de leurs affaires et des tournées mondiales de la chanteuse.

Si l’état de santé de Céline Dion inquiète toujours autant ses fans, cette ribambelle de mises en vente est tout aussi étrange. En six ans, l'interprète de “All by Myself” s’est séparée de nombreux biens immobiliers, comme son château au Canada, vendu 7,8 millions de dollars. Son manoir de Jupiter Island, en Floride, affiché au prix de 72,5 millions d’euros. L’été dernier, Céline Dion a finalement vendu sa maison à Los Angeles. Et enfin, en mai dernier, elle s’est séparée de sa villa à Las Vegas, qu’elle avait achetée en 2017. On se demande même si elle n'aurait pas des problèmes d'argent...