Comme beaucoup de femmes, Lorie souffre d'endométriose, une maladie qui l'a longtemps empêché d'avoir des enfants avant le miracle, en septembre 2020, de la naissance de sa petite fille Nina. Un combat remporté contre la maladie mais celle-ci était toujours là et il a fallu à celle qui va devenir animatrice prendre de lourdes décisions pour sa santé et son bien-être. Car son accouchement a eu des conséquences inattendues qui l'ont obligé à agir comme elle l'a raconté au magazine Gala.
“Il n'y a plus de douleurs parce qu'il n'y a plus de règles. Mais après la naissance de Nina, ça se répercutait dans mes jambes, dans le dos. J'étais si fatiguée que je tombais dans les pommes. J'avais comme une boule de pétanque dans le ventre..."
La seule solution pour abréger ses souffrances : l'hystérectomie ou l'ablation chirurgicale de l'utérus. Une décision difficile que laquelle elle a dû travailler avec une psychologue.
"Elle m'a dit qu'on sacralisait trop cet organe qui ne sert qu'à une chose : avoir des enfants. Et de toute façon, je n'avais pas le choix, j'avais trop mal."
Finalement, cela a été un mal pour un bien comme elle le reconnaît dans Gala.
"Depuis l'ablation, je revis."
Libérée de ses douleurs, Lorie multiplie donc les projets. Elle a réalisé plusieurs épisodes de la série "Demain nous appartient" et va faire ses premiers pas comme animatrice sur la chaîne RMC Story pour l'émission "Brisons le tabou !" Un projet télévisé consacrée aux femmes, leur santé et les problématiques du quotidien, des thèmes que Lorie maitrise malheureusement bien et dont il faut parler. Car ça aussi c'est son combat.
