Lorie Pester est la maman comblée d'une petite Nina. Un quasi-miracle pour la chanteuse qui souffre d'endométriose, une maladie qui lui a longtemps interdit d'avoir des enfants. Evidemment, la question d'en avoir un deuxième s'est posée mais la souffrance a pris le dessus et Lorie a dû prendre une décision irréversible et se faire opérer, se privant de la possibilité d'enfanter à nouveau. Un choix évidemment mûrement réfléchi mais tout de même douloureux comme elle l'a expliqué dans le podcast InPower.
Mon compagnon m'a dit que ce n'était plus possible, donc on a longtemps parlé pour savoir si on voulait un autre enfant. Yann [Dernaucourt, ndlr] avait déjà un petit garçon qui a 12 ans, donc à la maison on a un garçon et une fille, c'est cool, c'est déjà bien. On a quand même des métiers où on bouge un peu dans tous les sens. Et moi, je ne me voyais pas repartir avec des piqûres d'hormones, une nouvelle FIV, franchement c'est épuisant. C'était une décision pas facile parce que même quand on en parle avec son compagnon, qu'on est sûre de soi, sur la table d'opération (...) j'étais encore en train de pleurer. C'est irréversible."
Un mal pour un bien pour la comédienne de "Demain nous appartient" qui a ainsi mis fin à des années de souffrance. D'autant que dans le même podcast, elle a aussi expliqué qu'elle souffrait également d'adénomyose, "une cousine de l'endométriose". Difficile dès lors de se projeter dans le temps et dans une future maternité. Une décision difficile et courageuse pour éviter de nouvelles souffrances.
