Kendji Girac : les coulisses de l’interview événement de sa compagne

Kendji Girac : les coulisses de l’interview événement de sa compagne
La compagne de Kendji a dû sortir du silence durant l'affaire.

La journaliste qui l'a interrogée témoigne.

L'affaire Kendji Girac connaît encore de multiples rebondissements même si son volet judiciaire est classé et que le principal intéressé a pris la parole pour s'expliquer et présenter ses excuses pour son comportement. Mais, elle a aussi permis de mettre un peu plus en avant sa compagne, Soraya, qu'auparavant le public ne connaissait pas ou très peu... Sauf que devant les fausses informations sur sa vie privée, celle-ci a dû prendre la parole pour une interview vérité, histoire de remettre les points sur les i. La journaliste qui a recueilli son témoignage, Marie Poussel du Parisien, vient de raconter les coulisses de cet entretien dans un podcast, "Code source". Elle y explique notamment que la jeune femme est "déterminée" mais "pas en colère".

"Elle n'est pas très aguerrie à l'exercice des interviews. Il faut un peu la réconforter, lui expliquer comment ça se passe, que la parole doit être libre et qu'elle doit vraiment dire le fond de sa pensée. J'ai été étonné par sa détermination, sa voix est posée, elle a des choses à dire. [...] Elle n'est pas en colère, nous apprend la reporter du Parisien, mais elle veut rétablir certaines vérités qu'elle lit un petit peu partout. Notamment que le lundi matin, elle serait partie. Ça a été repris dans la presse entière. Elle ne l'accepte pas. Elle dit qu'elle n'était jamais dans la colère dans laquelle on l'a décrite, qu'elle était très angoissée, que le monde s'est effondré quand elle a vu Kendji blessé dans la caravane..."

Le reste était à lire dans les colonnes du quotidien, où la jeune femme tenait des mots forts.

"Je n'avais jamais pris la parole jusqu'à présent, et j'espère qu'après cette mise au point, les médias respecteront notre choix de la discrétion. Je désire sincèrement retomber dans l'anonymat et que nous nous retrouvions en famille."

Depuis, les choses ont évolué mais il faudra sans doute du temps pour qu'elles ne redeviennent réellement "normales"...