Quand on a appris que Calogero allait être le super coach de la finale de "The Voice Kids" qui a consacré Durel, on n'a pas compris. En effet, c'est sur l'antenne de M Radio que le chanteur avait tenu des propos peu amène à propos du concept de "The Voice" et des émissions. Mais, comme il n'y a que les imbéciles qui ne change pas d'avis, l'interprète d'"En apesanteur" a finalement accepté d'accompagner les quatre finalistes de la versions kids et de chanter avec eux. Il a même été tellement bon dans son rôle que les internautes sont nombreux à espérer le voir jouer un rôle plus important à l'avenir dans le télé-crochet. Mais, évidemment, il devait s'expliquer sur ce revirement, ce qu'il a fait auprès de nos collègues de Pure Charts.
Il a d'abord tenu à préciser que cette situation pourrait être difficile à gérer pour des enfants, notamment l'après "The Voice".
"J'ai bien aimé voir ces gamins chanter. Je les ai trouvés brillants ! Sur "The Voice Kids", on m'a dit que j'avais dit que pour les enfants, la télévision, c'était pas leur place. Effectivement, je continue à penser que ce qui est difficile à gérer pour les enfants, c'est l'après. L'après de la surmédiatisation de la télé."
Ensuite, il a compris à quel point "The Voice Kids" était une aventure enrichissante qui apporte quelque chose aux jeunes chanteurs qui s'y présentent.
"Je trouve ça extraordinaire qu'ils puissent chanter, faire des émissions où ils puissent se mélanger à des artistes professionnels. Ça, c'est génial ! D'ailleurs, ils ont l'air d'avoir la tête sur les épaules ces gamins."
Mais, il revient toujours à son idée de départ, bien gérer la suite, une fois que l'émission est terminée et que les lumières s'éteignent.
"Juste, il faut bien les accompagner après. C'est ce que j'ai voulu dire... Il y a une différence entre la passion de la musique et la médiatisation. C'est deux choses différentes. Et la médiatisation pour les enfants, ça c'est pas sûr que ce soit une super idée."
Des précisions d'importance qui expliquent mieux sa présence dans l'émission alors qu'on pensait vraiment qu'on ne l'y verrait jamais.