La fille d’Emmanuel Petit attaque son père en justice !

Le joueur de football Emmanuel petit attaqué en justice par sa propre fille.

Le samedi 9 février, l’ancien joueur de football était invité sur le plateau de Thierry Ardisson dans l’émission « Terriens du samedi ». Lors de cet entretien le champion de la coupe du monde de football s’est confié sur ses relations avec sa fille. Il a tenu à lui faire un petit coucou à la télévision : « Je l'embrasse très fort et j'en profite pour lui dire que je pense très fort à elle ». Quand on lui a demandé pourquoi il ne voyait plus sa fille, il a répondu : « Il faut lui poser la question ».

Mais voilà, les déclarations d’Emmanuel Petit à Zoé, 17 ans, semble avoir eu l’effet inverse sur la jeune fille. D’après le magazine « Closer », sa fille et son ex-femme, Agathe de La Fontaine se sont alliées pour trainer le joueur de foot devant la justice. Le magazine a contacté l’avocate des deux femmes, Maître Béatrice Uzab : « Ce qui a été indiqué dans le cadre de l'émission est vraiment de la manipulation à l'état pur. Emmanuel Petit a l'air affecté alors que tout cela est de son fait. Ni Agathe ni Zoé n'ont voulu cette rupture ».

Sur son compte Instagram, Zoé semble donner une tout autre version des faits : « Au lieu de mentir pour promouvoir ton livre, tu devrais relire tes derniers sms du 1er août 2017, quand tu écrivais ne plus vouloir me voir en précisant 'Bon débarras ». D’après les faits rapportés, c’est donc Emmanuel Petit lui-même qui aurait annoncé ne plus vouloir voir sa fille. Une épreuve très douloureuse pour la jeune fille : « Depuis la rupture avec son père, Zoé était suivie par un pédopsychiatre, elle prenait des antidépresseurs. Elle a été envahie de SMS, de messages d'insultes sur Instagram provenant de fans de foot lui reprochant de ternir l'image de son père, lui demandant pourquoi elle refusait de le voir… Alors qu'au contraire, elle subit la décision de son père ».

La mère de Zoé est même allée plus loin puisqu’elle a également saisi le juge des Affaires Familiales.