Le samedi 18 octobre, c’est le grand retour de la Star Academy pour une 13e saison très attendue. Entre la présentation de nouveaux élèves et une équipe de coachs entièrement renouvelée, l’émission s’annonce déjà comme un événement. Et pour cause : la saison 12 a marqué les esprits grâce à des candidats aussi talentueux qu’attachants, comme Marine, Ebony, Charles ou encore Marguerite.
C’est justement cette dernière qui refait parler d’elle. Depuis la fin de l’aventure, Marguerite poursuit sa carrière musicale avec passion. Elle vient d’ailleurs de sortir son premier projet "Grandir", porté par un single émouvant "Papa n’est pas là", dans lequel elle se livre sans détour sur son enfance marquée par l’absence de son père.
Le 11 octobre, la jeune artiste était invitée lors d’une interview où elle est revenue sur son expérience à la Star Academy et sur les moments marquants de son parcours. Elle y a notamment évoqué son rapport à la musique, aux étiquettes, et à la pression esthétique imposée dans ce genre d’émissions.
C’est là qu’elle a révélé une anecdote surprenante :
"J’ai très vite compris, et c’est surtout à la Star Ac’ que je l’ai compris, qu’il y avait des codes esthétiques auxquels il fallait se conformer. Moi, on m’a épilé mon monosourcil à la Star Ac’."
Un détail qui n’en est pas un, tant ce monosourcil faisait partie de son identité visuelle. Cette confession rappelle un épisode similaire survenu lors de la première saison, où la production aurait demandé à Jenifer... de perdre quelques kilos pour correspondre à certains standards.
Malgré tout, Marguerite garde un excellent souvenir de son passage dans le château :
"C’est vrai qu’il y a des sujets, même de stylisme, où ça a été un sujet par exemple de dire que je ne vais pas mettre de talons [...]. On se rend compte qu’il y a quand même des petits restes dans la manière dont on vend la musique", a-t-elle ajouté.
Une déclaration honnête et percutante, qui met en lumière les attentes encore présentes dans l’industrie musicale… mais aussi la force de caractère de Marguerite, bien décidée à tracer sa route à son image — authentique, libre et singulière.








































