Il est vrai qu’Indochine n’a pas été convié aux différentes cérémonies entourant les Jeux olympiques de Paris 2024. Nicola Sirkis s’explique, face à nos confrères du Parisien :
“Non, on n’a pas reçu le bristol ! On ne fait pas partie de ce club parisien […]. Je pense qu’ils n’ont même pas pensé à nous”.
Toutefois, le célèbre chanteur n’est absolument pas vexé d’avoir manqué la fête. Il ajoute :
“Mais vous aurez remarqué que nous avons eu la décence de ne pas en parler comme certains de nos collègues…”.
Pourtant, l’artiste a suivi la cérémonie d’ouverture de cet événement hors du commun : “Il y a des choses que j’ai adorées, d’autres un peu moins. Gojira c’était fou”. Il se dit même “ravi de ces Jeux olympiques”. Il raconte : “J’ai vu plusieurs épreuves avec mes enfants, j’ai acheté mes places. C’était extraordinaire”. Il semblerait que le groupe Indochine n’ait pas la rancune tenace.
Un retour très attendu
Sept après l’incroyable succès de l’album “13”, écoulé à plus de 500 000 exemplaires, Indochine fait son grand retour avec un nouvel opus, intitulé “Babel Babel”. Nicolas Sikis et Oli de Sat en parle avec passion :
“Il est l’inverse de tout ce qui doit se faire dans l’industrie de la musique aujourd’hui : un double album de 17 titres, des chansons longues, des refrains qui n’arrivent pas tout de suite. Mais on a le luxe de pouvoir le faire. Parce que ce public est toujours là”.
Inspiré par la “cacophonie du monde”, cet album était très attendu par le public. Ils affirment :
“Les gens ne se comprennent pas, s’aboient dessus […]. C’est un album plein de combat et plein d’espoir”.
Nous avons hâte de voir quel accueil les fans lui réservent !
