Dans un premier temps, elle a avoué : « J’ai vécu ça. J’ai été victime de violences conjugales »
La comédienne de 62 ans n'a jamais parlé de cette période difficile car elle s'est jamais senti en danger de mort même si cette période a été difficle : « Jamais je ne serais allée porter plainte parce que c'est lié à un rapport amoureux, parce que quelques temps après l'homme que vous aimez pleure dans vos bras en disant qu'il ne le fera plus jamais, a-t-elle ajouté. Je dis ça exprès parce que je pense qu'on est énormément nombreuses à vivre ça »
Dans un second temps, elle a affirmé que si elle aurait subi des violences à l'heure actuelle tout aurait différent : « Si j'avais su, si ça avait été aujourd'hui en 2019, je pense qu'avec tout le dialogue et tout ce qu'on fait autour de ça, naturellement, je me serais dit : “C'est pas parce que tu vas aller voir les flics qu'on va te regarder comme une machin »
Elle a d'aileurs expliqué qu'être connu était parfois délicat par rapport à certaines situations : « Il faut que ça devienne normal de pouvoir être protégée quand on se fait taper dessus, et sans que non plus on se dise qu'on va tuer l'homme qui nous a tapée dessus. On ne veut pas ça. On ne veut pas qu'on le condamne, on veut qu'on nous considère »
Ce qui est important pour Clémentine Célarié, c'est avant tout la libération de la parole pouvant apporter un soutien aux victimes.