Comme le révèle le magazine L’Express, le nom de Jean-Michel Maire est cité dans une sombre affaire de trafic de drogues. Le chroniqueur de Touche pas à mon poste fréquenterait des proches d'une figure du grand banditisme.
Du 21 janvier au 8 février un grand procès concernant un énorme réseau de trafic de cocaïne entre la République dominicaine et la France sera organisé. Dans le rapport du juge d'instruction résumant l'enquête menée entre 2011 et 2017, il est expliqué que plus d'une tonne de drogue a transité par des aéroports parisiens, 899 500 euros en liquide ont été saisis.
44 personnes ont été convoquées à l'audience. Parmi elles, une figure du grand banditisme : Kamel Berkaoui mais aussi "ses principaux lieutenants, le contact auprès des cartels dominicains, les flics ripoux, les passeurs, les blanchisseurs présumés"...
Jean-Michel Maire fréquenterait "un des proches lieutenants de Berkaoui". Comme le précise ensuite la parution, la justice ne reproche rien à l'ancien reporter de guerre. Le chroniqueur a été placé en garde à vue en 2016. Il avait été entendu, en tant que consommateur de cocaïne, dans le cadre d'une affaire de démantèlement d'un réseau de dealers de cocaïne parisien. Dans une interview accordé peu de temps après à Closer, Jean-Michel Maire avait déclaré : "J'ai dit aux enquêteurs que je l'avais été [consommateur, NDLR], mais que maintenant j'étais suivi par un hypnotiseur. Je ne consomme plus. À l'époque qui intéressait les enquêteurs, il m'arrivait de consommer." Une période difficile pour le chroniqueur…