Dans C’est que de la télé diffusée sur C8 jeudi 8 novembre, Valérie Benaïm déclare "Je pense que le débat va être un petit peu houleux". L’animatrice ne croit pas si bien dire ! Effectivement, Gérard Fauré, surnommé "le dealer des stars", est venu présenter sa biographie intitulé "Dealer du tout-Paris, le fournisseur des stars parle" dans ce livre il raconte plusieurs anecdotes, dont une particulière sur Johnny Hallyday.
D’après lui, le rockeur était menacé par la mafia Française "Pour quelles raisons la mafia rackettait Johnny ?", demande Valérie Benaïm. L’invité balance "A cause de son homosexualité". Selon sa théorie, la mafia lui réclamait de l'argent sous peine de dévoiler des photos compromettantes du rockeur en compagnie d'un homme.
"Ces propos n'appartiennent qu'à vous évidemment...", a tenté de nuancer Valérie Benaïm. Mais Gérard Fauré a donné à plusieurs reprises le nom et le prénom du supposé "petit amant" du chanteur. "Vous savez que vous risquez un procès en disant ça ?" conteste l’animatrice. Mais l’invité ne cesse de déraper.
La situation s’envenime. L’invité a livré des détails sur ce supposé amant. "Je l'ai connu au Maroc. Sa mère, c'était une manouche, une gitane, elle avait un bar. Et son mari c'était le plus grand gangster de France de tous les temps. Lui était homosexuel, c'était une vraie petite folle, mignon comme tout". Une remarque homophobe, soulignée par l'animatrice, qui a essayé de calmer son invité. "Attention, on ne peut pas dire 'petite folle', on ne peut pas dire des choses comme ça. On peut dire que c'était une personne qui avait une orientation sexuelle. Il était homosexuel, point".
Un dialogue de sourd s’engage. Gérard Fauré, dans sa lancé pense que Valérie Benaïm parle de Johnny Hallyday ! "C'est lui-même qui disait 'je suis une petite folle', je reprends ses propos", a-t-il persisté, une fois le doute dissipé sur la personne dont il était question. "Je vous avoue que je suis un peu scotchée...", a conclu l'animatrice.