Le départ de Jean-Jacques Goldman pour le pays de sa Majesté aura fait couler beaucoup d’encre.
Son ami de trente ans Fred Hidalgo publie une bio de l’artiste sur le site de l’Union de Reims.
« Que ce soit clair : son départ n’a strictement rien à voir avec un éventuel exil fiscal, comme on a pu le lire partout. Jean-Jacques a toujours dit son amour de la France et sa reconnaissance envers le pays qui a accueilli ses parents. Il continuera donc de payer ses impôts dans l’Hexagone. Ça correspond surtout à une envie et un besoin de retrouver l’anonymat le plus complet. Quoi de mieux qu’un pays non francophone où il n’est pas connu ni reconnu ? De plus, l’Angleterre offre des atouts culturels supplémentaires à ses filles, leur permettant de découvrir un autre mode de vie et de devenir parfaitement bilingues. Il est probable aussi que le fait que les prochaines élections présidentielles françaises risquent de porter au pouvoir des gens dont il a toujours combattu les idées extrêmes a pu être un élément de plus pour faciliter son éloignement momentané. »







































