Ce lundi midi, Stéphane Guillon était l'invité de "La Nouvelle Edition" présentée par Daphné Bürki sur C8.
Et comme à son habitude, il n'a pas hésité à donner son point de vue sur l'actualité, et en l'occurence, sur le premier tour des primaires de la droite et du centre. Avec ironie, l'humoriste évoque Nicolas Sarkozy. " Je me suis réveillé avec la gueule de bois, parce que j’ai perdu mon meilleur client. C’est quand même 10 ans de bonheur qui s’arrêtent et ça fait mal. Il m’a apporté énormément. C’est le paradoxe de ce métier, on dénonce, on critique et quand ça s’arrange, on est dans la merde. Mais je m’en veux un peu parce que je l’ai beaucoup chambré. Je me dis ‘Pourquoi avoir cassé mon jouet ?’" déclare-t-il avant de se concenter sur François Fillon.
" C'est marrant, dans un truc où Juppé c'était l'identité heureuse, finalement les Français ont eu un coup de coeur pour un dépressif. Il ressemble quand même à Caliméro, je suis désolé. Et peut-être pour l'industrie pharmaceutique c'est pas mal je veux dire. On va vendre du Xanax, du Lexomil, du Prozac...On a envie de le prendre dans nos bras. J'ai beaucoup aimé son matelas qu'il avait sur lui hier soir, sa parka à losanges. Je cherche la même. L'appel est lancé." lance-t-il avec humour.