Nolwenn Leroy a deux passions, son fils et la taxidermie...

Nolwenn Leroy a deux passions, son fils et la taxidermie...

Deux passions bien distinctes.

En pleine promotion de son dernier album, "La cavale", Nolwenn Leroy écume les plateaux télé. Il y a peu, elle était l'invitée de Nikos Aliagas dans l'émission "50' Inside". Cette fois encore, elle n'a pas pu échapper à une question sur son statut de maman et sur son fils, Marin, sa "petite tornade" comme elle l'appelle avec affection. Face au présentateur de "The Voice', elle a expliqué pourquoi elle avait tant attendu avant de faire un enfant.

"C'est aussi une étape de la vie, que j'ai longuement attendu. Ça a été longuement réfléchi aussi. Il n'est pas arrivé tout de suite donc c'est vrai qu'il est le centre de mon univers, aujourd'hui."

Preuve qu'elle n'en rajoute pas quand elle parle de fils comme étant le point central de sa vie, elle lui a même écrit une chanson sur son dernier opus, "Mon beau corsaire".

Mais les confidences de Nolwenn Leroy concernent parfois des sujets plus inatendus. Invitée de "Télématin" le lundi 22 novembre, elle a révélé une passion qu'on lui connaissait pas, la taxidermie. Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, il s'agit d'empailler des animaux et de leur garder leur aspect "vivant".

"C'est une passion pour le Muséum d'Histoire Naturelle, pour le prolongement de la vie, en fait. Il y a plein d'espèces qui, malheureusement, n'existent plus ou n'existeront plus et qu'on peut présenter aux enfants grâce à la taxidermie. J'ai un paon, j'ai un harfang des neiges, j'ai quelques pièces. C'est important de faire une différence entre le trophée de chasse abominable et la taxidermie, on ne parle pas du tout de la même chose. Avec la taxidermie, on est dans la célébration de la vie d'un animal, d'une espèce, et ça c'est magnifique."

Une passion qu'elle a même mis en musique avec son album datant de 2005, "Histoire naturelle"

"On avait tourné des scènes dans la grande galerie de l'évolution du Muséum. Je suis passionnée par les cabinets de curiosité du 18ème, c'est une passion, donc j'ai consacré tout un album à imagerie."

Il faut avouer que là, vraiment, on ne s'y attendait pas !