Amel Bent cible des haters durant "The Voice"

Amel Bent cible des haters durant "The Voice"

La solution ? Couper les réseaux sociaux.

Seule femme parmi trois garçons à forte personnalité, Amel Bent tire pourtant parfaitement son épingle du jeu dans "The Voice" grâce à sa sensibilité mais aussi à des idées bien arrêtées. Il faut croire que cela ne plaît pas à tout le monde... Dans une récente interview, la chanteuse a effet admis qu'elle devait s'éloigner des réseaux sociaux les week-ends de diffusion de l'émission devant le nombre incroyable de critiques qu'elle reçoit.

Dans une interview à Télé-Loisirs, elle est revenue sur cette aspect des émissions quand la journaliste chargée de mener l'interview lui a dit qu'elle était "rigolote et sans filtre".

"Ah bon ? Pourtant je vois tellement de critiques sur les réseaux sociaux qui disent que j'en fais trop, que je parle trop… [...] Avec la diffusion de "The Voice" je suis même obligée de couper mes réseaux sociaux le week-end à cause des haters. Il y a plein de choses qui se mélangent, un auditoire qui n'est pas toujours bienveillant."

Néanmoins, elle reconnaît qu'elle "beaucoup plus dans la vie qu'à la télé ou en interview" et qu'elle est "sans filtre"

"Je dis tout ce qui passe dans ma tête. Je suis comme ça depuis toute petite. Et c'est encore plus vrai dans "The Voice". Lors des auditions à l'aveugle, les coachs sont seuls, il n'y a pas d'animateur, pas de chef d'orchestre pour nous remettre dans le droit chemin. On est livrés à nous-mêmes. Très vite, on ne voit plus les caméras, on oublie qu'on est filmés… et là, pour moi, c'est fichu, je suis en roue libre !"

Alors que le public fait également beaucoup de réflexions sur son poids, la chanteuse s'assume : 

"Dans la vie, il vaut mieux être aimée pour ce que l'on est plutôt qu'être aimée ou haïe pour ce que l'on n'est pas. Avec les années, j'ai appris que je ne pouvais pas plaire à tout le monde. Et ce n'est pas grave."

Quitte à s'éloigner, de temps à autre, des réseaux sociaux pour éviter un déferlement immérité de critiques...