Mardi, Matthieu Delormeau avait vivement critiqué Lââm. Il avait affirmé que la chanteuse avait participé à The Island, non pas pour un soi-disant « dépassement de soi », mais uniquement pour l’argent et une brève célébrité retrouvée. L’artiste lui avait répondu dans un tweet incendiaire et l’avait insulté de nombreux noms d’oiseaux.
Hier, le chroniqueur de TPMP a répondu à ces attaques : « Je ne pourrais pas m'adapter à une telle vulgarité nucléaire […] C'est sûr que quand je lis ses tweets, je m'étonne qu'à moitié que sa carrière ait pris l'eau. »
Instantanément, certains de ses camarades prennent la défense de Lââm. Géraldine Maillet, par exemple, s’insurge : « Oh Matthieu, mais tu l'as humiliée. C'est dur ce que t'as dit. Tu peux comprendre … »
Le chroniqueur semble alors revenir sur ses propos : « Si sur la forme j'ai été maladroit je m'en excuse auprès de Lââm. » Il « semble » seulement. Car l’invective reprend de plus belle : « En revanche sur le fond, je maintiens tout ce que j'ai dit : aucun people ne me fera croire que La Ferme Célébrités, The Island, et tout ça, c'est pour le dépassement de soi. C'est peut-être 5% mais le reste, disons la vérité, c'est pour l'argent et retrouver un peu de gloire. Parce que tous ceux qui le font n'ont plus de carrière souvent et plus d'argent ! […] Elle-même, dans les interviews, elle dit qu'elle ne gagnait plus du tout d'argent et qu'elle vivait de rien, donc je n'ai rien sorti comme info. »
Sur ce point, il est rejoint par Benjamin Castaldi qui déclare : « Je vais défendre Matthieu, même s’il l’a dit de manière maladroite. Evidemment, on va dans émissions-là quand on a été connu et quand on a besoin d’un coup de boost et de gagner un peu d’oseille. Mais ça n’est pas honteux. En revanche, moi, ce qui m’énerve comme Matthieu, c’est ceux qui disent ‘ah non pas du tout, j’le fais parce que je veux me dépasser. Mon cul ! Il a raison ! »
Matthieu Delormeau termine en montrant à quel point il a été blessé par les propos de Lââm : « Moi j'aurais mis ça, j'aurais eu misogynie, etc., elle a le droit d'avoir une vulgarité abyssale, personne dit rien […] elle a 50 ans, qui c'est qui parle comme ça ? »