Le synopsis de Ghostland annonce dès le début la couleur : “Suite au décès de sa tante, Pauline et ses deux filles héritent d’une maison. Mais dès la première nuit, des meurtriers pénètrent dans la demeure…” Une mère de famille vulnérable, une enfance menacée, une vieille maison… Les ingrédients parfaits pour faire monter la mayonnaise de l’angoisse.
En mai dernier, Gala avait rencontré et abordé avec Mylène Farmer les souvenirs du tournage. Elle nous déclarait notamment faire “toujours le même cauchemar ; Pascal Laugier, le réalisateur, qui me poursuit inlassablement avec sa caméra dans les couloirs de la maison du film.”. Dans ce film, la chanteuse signe son grand retour au cinéma dans le rôle d’une mère : “c’était un challenge, mais je l’ai finalement abordé de façon assez naturelle, instinctive”. Elle avoue au passage qu’elle garde un souvenir très fort de ses “filles à l’écran”. Elle revenait par ailleurs dans son pays de naissance, le Canada, qui lui a procuré une “immense émotion” : “j’ai retrouvé la maison de ma petite enfance, à Pierrefonds. J’ai pu en redécouvrir l’intérieur, le jardin… Je suis également revenue dans ma première école.”